Correction TCF - Fait de société
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Message de ebcn posté le 26-03-2014 à 14:26:12 (S | E | F)
Bonjour,
Encore une pratique pour le TCF. En ce cas l'exercice 5 : "rédiger, à partir d'un fait de société, un argumentaire clair et détaillé cherchant à convaincre le destinataire (100 à 125 mots)"
Pourriez-vous m’aider à le corriger, s'il vous plaît ?
Comme d'habitude, je vous remercie pour votre aide.
À bientôt.
Du 7 au 9 de mars, a eut lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce Salon que j’ai vu à la télévision, un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce Salon-là, les gens qui décident de se tatouer son plus variés qu’auparavant: il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoue est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage comme on choisirait un pullover des couleurs mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage est une intervention chère et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant de faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, bien qu’il ne soit que deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il ou elle a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
Message de ebcn posté le 26-03-2014 à 14:26:12 (S | E | F)
Bonjour,
Encore une pratique pour le TCF. En ce cas l'exercice 5 : "rédiger, à partir d'un fait de société, un argumentaire clair et détaillé cherchant à convaincre le destinataire (100 à 125 mots)"
Pourriez-vous m’aider à le corriger, s'il vous plaît ?
Comme d'habitude, je vous remercie pour votre aide.
À bientôt.
Du 7 au 9 de mars, a eut lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce Salon que j’ai vu à la télévision, un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce Salon-là, les gens qui décident de se tatouer son plus variés qu’auparavant: il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoue est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage comme on choisirait un pullover des couleurs mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage est une intervention chère et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant de faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, bien qu’il ne soit que deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il ou elle a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de jij33, postée le 26-03-2014 à 15:04:50 (S | E)
Bonjour ebcn
Du 7 au 9 de (supprimer la préposition) mars, a eut (orthographe) lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce Salon que j’ai vu à la télévision, un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce Salon-là, les gens qui décident de se tatouer (ils ne se tatouent pas eux-mêmes... Faire précéder cet infinitif-là de celui d'un autre verbe. Voyez-vous lequel ?) son (orthographe du verbe) plus variés qu’auparavant (espace avant les deux-points): il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoue (accent) est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage comme on choisirait un pullover (ajouter une conjonction de coordination permettant d'indiquer un choix, une alternative) des couleurs (ajouter une préposition et un article défini) mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage est une intervention chère et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant de faire (comme ce ne sont pas les autorités qui font le tatouage, votre formulation est à revoir) un tatouage. Remettre la décision à plus tard, bien qu’il ne soit (à reformuler en commençant par "même si") que deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il ou elle (inutile : le terme générique "client" inclut également le féminin) a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
Bonne correction
Réponse: Correction TCF - Fait de société de ebcn, postée le 26-03-2014 à 15:30:13 (S | E)
Bonjour,
Merci pour les corrections. Pourrais-je vous poser un couple de questions?
Je voulais dire “un pullover en la couleur de mode”. C’est-a-dire, si cet été la couleur de mode est le bleu, alors, un pullover bleu. L’expression “un pullover en la couleur de mode” serait correcte en ce cas?
“Même si” : j’essaye avec “même pendant”. Transmet cela l’idée qu’il suffirait avec un court période de temps?
À bientôt.
Du 7 au 9 mars, a eu lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce Salon que j’ai vu à la télévision, un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce Salon-là, les gens qui décident de se faire tatouer sont plus variés qu’auparavant : il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoué est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage comme on choisirait un pullover ou des couleurs de la mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage est une intervention chère et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant que le client puisse se laisser faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, même pendant deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de jij33, postée le 26-03-2014 à 16:08:53 (S | E)
Un nouveau bonjour .
On dira : un pull-over d'une couleur à la mode. Attention à l'orthographe du nom pull-over, qui en français prend un trait d'union, contrairement au mot anglais, je crois.
Du 7 au 9 mars, a eu lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce
Salon (La majuscule n'est pas nécessaire)que j’ai vu à la télévision, un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce Salon-là, les gens qui décident de se faire tatouer sont plus variés qu’auparavant : il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoué est synonyme d’être à la mode.Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage comme on choisirait un pullover
ou des couleurs de (la préposition à laquelle je pensais est "à" : à la mode) la mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage est une intervention chère et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant que le client puisse se laisser faire un tatouage (correct mais un peu lourd : vous pourriez ne garder que deux infinitifs). Remettre la décision à plus tard, même pendant (on dira plutôt "même de deux jours") deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il a vraiment envie de se laisser marquer la peau.À bientôt peut-être.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de ebcn, postée le 28-03-2014 à 10:15:56 (S | E)
Bonjour
, Voici les corrections.
Merci beaucoup.
À bientôt.
Du 7 au 9 mars, a eu lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce salon que j’ai vu à la télévision, un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce salon-là, les gens qui décident de se faire tatouer sont plus variés qu’auparavant : il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoué est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage comme on choisirait un pull-over ou des couleurs à la mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage est une intervention chère et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant que le client se laisse faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, même de deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de jij33, postée le 28-03-2014 à 10:33:20 (S | E)
Bonjour ebcn
Votre texte est grammaticalement correct
. Cependant, on peut toujours améliorer l'expression, par exemple en supprimant des répétitions ou en choisissant un mot plus précis : je vous indique comment vous y prendre mais vous le ferez si vous en avez envie.C'est déjà tout à fait acceptable !
Du 7 au 9 mars, a eu lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage à l’occasion de ce salon que j’ai vu à la télévision (il est possible d'alléger la phrase en supprimant cette subordonnée relative et en gardant "vu à la télévision", à placer après "reportage"), un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce salon-là, les gens qui décident de se faire tatouer sont plus variés qu’auparavant : il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoué est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On choisit le tatouage (vous pouvez supprimer ce groupe nominal et le remplacer, avant le verbe "choisit", par un pronom personnel COD) comme on choisirait un pull-over ou des couleurs à la mode. Mais le tatouage reste et enlever un tatouage (même remarque, en pensant à élider le pronom avant "enlever") est une intervention chère (ou "coûteuse") et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant que le client se laisse faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, même de deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
A bientôt.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de ebcn, postée le 31-03-2014 à 09:54:12 (S | E)
Bonjour,
Voici les dernières modifications.
À bientôt.
Du 7 au 9 mars, a eu lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportaje vu à la télévision à l’occasion de ce salón. un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce salon-là, les gens qui décident de se faire tatouer sont plus variés qu’auparavant : il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoué est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On le choisit comme on choisirait un pull-over ou des couleurs à la mode. Mais le tatouage reste et l’enlever est une intervention coûteuse et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant que le client se laisse faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, même de deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de jij33, postée le 31-03-2014 à 10:11:41 (S | E)
Bonjour ebcn
Ce serait parfait... si vous n'aviez pas ajouté quelques erreurs qui ne figuraient pas dans vos versions antérieures.
D’après un
reportaje vu à la télévision à l’occasion de ce salón (pas d'accent). un Français...Deux erreurs d'orthographe et une minuscule après un point.
Bonne journée.
Réponse: Correction TCF - Fait de société de ebcn, postée le 31-03-2014 à 14:02:47 (S | E)
Bonjour,
Ah, dommage
C'est grâce au correcteur automatique du Word, qu'il y a des nouvelles erreurs!
Mais c’est ma faute: j’y dois faire beaucoup plus d’attention.
Merci beaucoup. À bientôt.
Du 7 au 9 mars, a eu lieu à Paris le Salon du Tatouage. D’après un reportage vu à la télévision à l’occasion de ce salon un Français sur dix serait tatoué. En plus, il y aurait deux fois plus de tatoués chez les moins de 34 ans. Selon un des tatoueurs qui ont pris part à ce salon-là, les gens qui décident de se faire tatouer sont plus variés qu’auparavant : il y a des “rock’n’rollers” mais aussi des pères de famille conventionnels. Cela veut dire que le tatouage est devenu un goût collectif. Aujourd’hui, être tatoué est synonyme d’être à la mode.
Je me demande si on a toujours bien réfléchi avant de se faire tatouer. Parfois, le tatouage n’est qu’un dessin quelconque, exécuté avec peu d’art. On le choisit comme on choisirait un pull-over ou des couleurs à la mode. Mais le tatouage reste et l’enlever est une intervention coûteuse et douloureuse. C’est pourquoi, je crois que les autorités devraient imposer un délai avant que le client se laisse faire un tatouage. Remettre la décision à plus tard, même de deux jours, permettrait au client d’évaluer s’il a vraiment envie de se laisser marquer la peau.
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