Explication d'un poemeBonso
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Message de pbpbpb posté le 03-04-2018 à 20:05:53 (S | E | F)
Bonsoir,
J'ai expliqué un poème s'appelle 'Le visage en feu', écrire par Raymond Devos.
J'arrive à un carrefour, le feu était au rouge.
Il n'y avait pas de voitures, je pass!
Seulement, il y avait un agent qui faisait le guet.
Il me siffle. Il me dit :
Vous êtes passé au rouge!
Oui! Il n'y avait pas de voitures!
Ce n'est pas une raison!
Je dis :
Ah si! Quelquefois, le feu est au vert... Il y a des voitures et... je ne peux pas passer!
Stupeur de l'agent! Il est devenu tout rouge.
Je lui dis :
Vous avez le visage en feu! Il est devenu tout vert!
Alors, je suis passé!
Montrez que le comique de Devos est un comique de l'absurde.
Après avoir lu ce poème, je peux dire que Devos était vraiment une personne assez drôle et qui faisait des bons blagues avec des activités de la vie quotidienne. En lisant à partir de 'j'arrive à un carrefour' à 'il me siffle', cette situation est banale et tout le monde peut se rapporter à cette situation. Ensuite, quand l'agent lui a demandé s'il avait passé au rouge et Raymond a dit qu'il a passé et puis lorsqu'il a encore ajouté que quand le feu est au vert et il y a des voitures mais il ne pourrais pas passer. Après avoir entendu cette réponse de Raymond, l'agent est devenu plus rouge et c'est évidemment car l'agent n'avait pas attendu ce type de répondre.
Dans la dernière partie, quand Raymond a dit que le visage de l'agent est en feu et du coup, l'agent était en colère et il brûlait de colère. Et soudain, Raymond lui a dit qu'il est devenu tout vert et alors il serais passer le feu. C'était très marrant, parce que ici Raymond comparaît le visage d'agent avec feu de circulation. Comment le feu montre les couleurs différentes de temps en temps et comment les gens se comportent. Raymond montre l'ironie comment quand le feu est au vert et les véhiculeurs peuvent passer mais ils ne passent pas à cause d'embouteillage et d'autre côté, quand le feu montre la couleur rouge, la plupart du temps, la route est vide et les véhicules peuvent facilement passer. Donc, il montre cette situation banale avec beaucoup de plaisir.
Comme ce poème, on peut aussi ajouter un peu d'amusement et de joie dans la vie quotidienne.
Merci et s'il vous plaît m'aider à corriger ce texte et aussi pourriez-vous me dire si j'ai mal compris le poème.
Merci beaucoup.
Message de pbpbpb posté le 03-04-2018 à 20:05:53 (S | E | F)
Bonsoir,
J'ai expliqué un poème s'appelle 'Le visage en feu', écrire par Raymond Devos.
J'arrive à un carrefour, le feu était au rouge.
Il n'y avait pas de voitures, je pass!
Seulement, il y avait un agent qui faisait le guet.
Il me siffle. Il me dit :
Vous êtes passé au rouge!
Oui! Il n'y avait pas de voitures!
Ce n'est pas une raison!
Je dis :
Ah si! Quelquefois, le feu est au vert... Il y a des voitures et... je ne peux pas passer!
Stupeur de l'agent! Il est devenu tout rouge.
Je lui dis :
Vous avez le visage en feu! Il est devenu tout vert!
Alors, je suis passé!
Montrez que le comique de Devos est un comique de l'absurde.
Après avoir lu ce poème, je peux dire que Devos était vraiment une personne assez drôle et qui faisait des bons blagues avec des activités de la vie quotidienne. En lisant à partir de 'j'arrive à un carrefour' à 'il me siffle', cette situation est banale et tout le monde peut se rapporter à cette situation. Ensuite, quand l'agent lui a demandé s'il avait passé au rouge et Raymond a dit qu'il a passé et puis lorsqu'il a encore ajouté que quand le feu est au vert et il y a des voitures mais il ne pourrais pas passer. Après avoir entendu cette réponse de Raymond, l'agent est devenu plus rouge et c'est évidemment car l'agent n'avait pas attendu ce type de répondre.
Dans la dernière partie, quand Raymond a dit que le visage de l'agent est en feu et du coup, l'agent était en colère et il brûlait de colère. Et soudain, Raymond lui a dit qu'il est devenu tout vert et alors il serais passer le feu. C'était très marrant, parce que ici Raymond comparaît le visage d'agent avec feu de circulation. Comment le feu montre les couleurs différentes de temps en temps et comment les gens se comportent. Raymond montre l'ironie comment quand le feu est au vert et les véhiculeurs peuvent passer mais ils ne passent pas à cause d'embouteillage et d'autre côté, quand le feu montre la couleur rouge, la plupart du temps, la route est vide et les véhicules peuvent facilement passer. Donc, il montre cette situation banale avec beaucoup de plaisir.
Comme ce poème, on peut aussi ajouter un peu d'amusement et de joie dans la vie quotidienne.
Merci et s'il vous plaît m'aider à corriger ce texte et aussi pourriez-vous me dire si j'ai mal compris le poème.
Merci beaucoup.
Réponse : Explication d'un poemeBonso de alienor64, postée le 04-04-2018 à 00:57:00 (S | E)
Bonsoir pbpbpb
J'ai expliqué un poème qui s'appelle 'Le visage en feu',(pas de virgule) écrire(participe passé) par Raymond Devos.
Il faut laisser une espace devant un point d'exclamation (règles de typographie française). Pour répondre à votre question : '... et aussi pourriez-vous me dire si j'ai mal compris le poème.' Vous ne l'avez pas bien compris : ce ne sont pas de ' bonnes blagues' que fait Raymond Devos. Relisez attentivement le texte, trouvez ce qui est à la fois absurde et comique (c'est ce que l'on vous demande)et donnez-en une explication.
J'arrive à un carrefour, le feu était au rouge.
Il n'y avait pas de voitures, je pass(orthographe)! (espace devant un point d'exclamation)
Seulement, il y avait un agent qui faisait le guet.
Il me siffle. Il me dit :
Vous êtes passé au rouge!
Oui! Il n'y avait pas de voitures!
Ce n'est pas une raison!
Je dis :
Ah si! Quelquefois, le feu est au vert... Il y a des voitures et... je ne peux pas passer!
Stupeur de l'agent! Il est devenu tout rouge.
Je lui dis :
Vous avez le visage en feu! Il est devenu tout vert!
Alors, je suis passé!
Montrez que le comique de Devos est un comique de l'absurde.
Conjuguez les verbes qui décrivent la scène au présent de l'indicatif et non au passé.
Après avoir lu ce poème, je peux dire que Devos était vraiment une personne assez drôle et(enlever) qui faisait des(devant un adjectif, 'des' devient 'de') bons(accord) blagues( il ne s'agit pas de blagues) avec(autre préposition, signifiant 'à propos de' : ne recopiez pas cette indication) des(déterminant défini) activités de la vie quotidienne. En lisant(enlever) à partir de 'j'arrive à un carrefour' à 'il me siffle', cette(déterminant défini) situation est banale et tout le monde peut se rapporter à(enlever ; autre verbe) cette situation. Ensuite, quand l'agent lui a demandé s'il avait passé (autre auxiliaire) au rouge et(enlever ; virgule) Raymond (ici, pronom personnel COI représentant l'agent) a dit(mieux : autre verbe) qu'il a passé(autre auxiliaire) et puis lorsque (enlever) il a encore(enlever) ajouté que quand le feu est au vert et(enlever ; virgule) il y a des voitures mais il ne pourrais(erreur de personne, sujet : 'il' et autre temps) pas passer. Après avoir entendu cette réponse de Raymond(enlever), l'agent est devenu plus(enlever) rouge et c'est évidemment(enlever) car l'agent n'avait pas attendu(enlever ; conjuguer le verbe 'attendre' à la forme négative et pronominale ( donc précédé d'un pronom réfléchi) et suivi d'une préposition) ce type de répondre(pourquoi cet infinitif ? Il faut le nom correspondant).
Dans la dernière partie, quand Raymond a dit que le visage de l'agent est(autre temps) en feu et du coup(enlever), l'agent était en colère et(enlever ; virgule) il brûlait de colère. Et soudain, Raymond lui a dit qu'il est(autre temps) devenu tout vert et alors il serais passer le feu ( de à : cela ne veut rien dire). C'était très marrant(trop familier ; autre adjectif), parce que(élision) ici Raymond comparaît(verbe 'comparer' et non 'comparaître' : pas d'accent circonflexe) le visage d'(préposition + déterminant élidé) agent avec (déterminant défini) feu de circulation. Comment le feu montre les couleurs différentes de temps en temps et comment les gens se comportent ( de à : incompréhensible ; à reformuler). Raymond montre l'ironie(enlever ; conjuguer : 'se montrer' suivi de l'adjectif correspondant au nom 'ironie') comment(enlever : mettre une conjonction pour introduire une subordonnée de temps avec le verbe 'dire' à la 3e personne du singulier + conjonction de subordination) quand le feu est au vert et (enlever ; virgule) les véhiculeurs(autre mot ; le sens de celui-ci ne convient pas ici) peuvent passer mais ils ne passent pas à cause d'embouteillage(pluriel)(ici, signe de ponctuation car cette phrase beaucoup trop longue) et(enlever) d'(ici, déterminant indéfini pour former cette locution) autre côté, quand le feu montre la couleur(enlever ; conjuguer 'passer' suivi d'un déterminant contracté, contraction de 'à + le') rouge, la plupart du temps, la route est vide et les véhicules peuvent facilement passer. Donc, il montre(autre verbe : 'décrire') cette(déterminant indéfini) situation banale avec beaucoup de plaisir(pourquoi donc 'beaucoup de plaisir '? Un dictionnaire vous donnera le sens exact des mots : 'plaisir, amusement, joie' que vous employez improprement) .
Comme ce poème(il manque une préposition après 'Comme'), on peut aussi ajouter un peu d'amusement et de joie dans la vie quotidienne. En fait 'd'amusement et de joie', c'est surtout l'absurdité de certaines situations qui ressort de ce sketch.
Bonne correction
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