Texte, un voyage terrible
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Message de datchay91 posté le 10-08-2018 à 02:37:11 (S | E | F)
Bonsoir. S'il vous plaît, indiquez-moi les erreurs commises dans le texte afin que je les corrige.
Un voyage terrible
Nindouwé et ses trois amis arrivèrent dans un pays qui leur fut étrange durant leur voyage. Les trois aventuriers, lorsqu'ils y arrivèrent, ils réalisèrent qu'il était extraordinaire. Ce qui le rendit exceptionnel à leurs yeux, ce sont ses montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais connu, ca il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement vus de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de monter aux sommets. En montant, ils réalisèrent que certains parmi les passants s'arrêtaient pour les regarder. Ils ne savaient pas pourquoi on les regardait, ce phénomène leur fut inexplicable. Or, en allant jusqu'aux sommets de ces dernières, ils prenaient le risque d'être tués par des animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants du pays dans lequel ils se trouvaient n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque aurait exposé sa vie en danger. C'est la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils auraient été au sommet. Quant à nos amis, pour eux, si les gens les regardaient, c'est qu'ils ne les connaissaient pas. Ils pensaient que, s'il y avait un risque, on leur l'aurait dit. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se jetèrent à leur poursuite. Le plus petit d'entre eux eut tellement peur qu'il tomba d'en haut, le second fut dévoré et le troisième, étant leur héro, se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et qu'ils furent partis du lieu, Nindouwé, le survivant, en descendit rapidement et partit dans son pays. Lorsqu'il arriva dans son pays, on lui demanda où avait-il laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué, les parents des perdus lui dirent de les conduire là où la cène s'était déroulée afin de s'assurer. Et il les y amena aussitôt. Après être arrivés et avoir vu ce qui était arrivé à leurs enfants, ils le jetterent en prison pour avoir amener leurs enfants dans cet endroit. Cinqu'ans après, il sortit de la prison grâce aux efforts fournis par ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendait quelque part.
Merci d'avance. A bientôt !
Message de datchay91 posté le 10-08-2018 à 02:37:11 (S | E | F)
Bonsoir. S'il vous plaît, indiquez-moi les erreurs commises dans le texte afin que je les corrige.
Un voyage terrible
Nindouwé et ses trois amis arrivèrent dans un pays qui leur fut étrange durant leur voyage. Les trois aventuriers, lorsqu'ils y arrivèrent, ils réalisèrent qu'il était extraordinaire. Ce qui le rendit exceptionnel à leurs yeux, ce sont ses montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais connu, ca il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement vus de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de monter aux sommets. En montant, ils réalisèrent que certains parmi les passants s'arrêtaient pour les regarder. Ils ne savaient pas pourquoi on les regardait, ce phénomène leur fut inexplicable. Or, en allant jusqu'aux sommets de ces dernières, ils prenaient le risque d'être tués par des animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants du pays dans lequel ils se trouvaient n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque aurait exposé sa vie en danger. C'est la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils auraient été au sommet. Quant à nos amis, pour eux, si les gens les regardaient, c'est qu'ils ne les connaissaient pas. Ils pensaient que, s'il y avait un risque, on leur l'aurait dit. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se jetèrent à leur poursuite. Le plus petit d'entre eux eut tellement peur qu'il tomba d'en haut, le second fut dévoré et le troisième, étant leur héro, se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et qu'ils furent partis du lieu, Nindouwé, le survivant, en descendit rapidement et partit dans son pays. Lorsqu'il arriva dans son pays, on lui demanda où avait-il laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué, les parents des perdus lui dirent de les conduire là où la cène s'était déroulée afin de s'assurer. Et il les y amena aussitôt. Après être arrivés et avoir vu ce qui était arrivé à leurs enfants, ils le jetterent en prison pour avoir amener leurs enfants dans cet endroit. Cinqu'ans après, il sortit de la prison grâce aux efforts fournis par ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendait quelque part.
Merci d'avance. A bientôt !
Réponse : Texte, un voyage terrible de alienor64, postée le 10-08-2018 à 19:51:32 (S | E)
Bonsoir datchay91
L'apposition : Lien internet
Un voyage terrible(mieux : devant le nom)
Nindouwé et ses trois amis arrivèrent dans un pays qui leur fut(autre verbe : 'paraître') étrange durant leur voyage(après 'qui' et entre deux virgules). Les trois aventuriers, lorsqu'ils y arrivèrent(répétition de 'arrivèrent' et formulation trop lourde ; donc, remplacez ce qui est souligné par le participe passé de 'parvenir' suivi de 'à destination' ; vous placerez ce groupe de mots en apposition : voir lien), ils(enlever) réalisèrent qu'il(enlever ; mettez 'endroit' précédé d'un déterminant démonstratif) était extraordinaire. Ce qui le rendit(autre temps : imparfait) exceptionnel à leurs yeux, ce sont(autre temps) ses(déterminant possessif correct, mais mieux après lecture de ce qui suit : déterminant défini) montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais connu(autre verbe : 'voir' ), ca il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement vus(autre verbe : 'contempler' + accord) de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de monter aux sommets(à remplacer par 'escalader' précédé d'un pronom personnel COD). Tout En(minuscule) montant, ils réalisèrent que certains parmi les passants(autre mot ; 'les passants' circulent dans une rue) s'arrêtaient pour les regarder.(remplacez le point par une conjonction de coordination)Ils ne savaient(autre verbe : 'comprendre') pas pourquoi on les regardait(enlever), ce phénomène leur fut inexplicable(trop lourd ! à enlever). Or, en allant jusqu'aux sommets de ces dernières(enlever), ils prenaient le risque d'être tués par des(déterminant défini) animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants du(enlever ; mettre : préposition + déterminant démonstratif) pays dans lequel ils se trouvaient(enlever) n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque aurait exposé(conditionnel présent et non passé) sa vie en(déterminant contracté, contraction de 'à + le') danger. C'est la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils auraient été(conditionnel présent) au sommet. Quant à nos amis, pour eux,(à enlever ; conjuguez 'croire' ou 'supposer', le sujet étant 'nos amis' à remplacer par le pronom personnel, suivi d'une conjonction de subordination) si les gens les regardaient, c'est(autre temps) qu'(à remplacer par la locution conjonctive qui introduit la cause, le motif) ils ne les connaissaient pas. Ils pensaient que, s'il y avait(autre temps : plus-que-parfait) un risque, on leur l'(ce pronom est mal placé) aurait dit. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se jetèrent(autre verbe : 'se lancer') à leur poursuite. Le plus petit d'entre eux('d'entre eux' : 'des lions', qui sont les derniers à être cités, ou des amis ? Ce n'est pas clairement exprimé) eut tellement peur qu'il tomba d'en haut(à mieux exprimer avec le verbe 'chuter' suivi d'un complément de lieu : 'un ravin', par exemple ; vous pouvez ici dire ce qu'il advint de lui après cette chute), le second fut dévoré et le troisième, étant(enlever) leur héro(orthographe ; de plus, pourquoi ce nom ? Jusqu'ici, votre récit ne nous a pas appris que l'un des quatre aventuriers était un 'héros ' !), se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et qu'ils furent partis du lieu(enlever ; à remplacer par le verbe 'disparaître', sans répéter conjonction de subordination), Nindouwé, le survivant, en(enlever) descendit rapidement (ici, nommez l'endroit) et partit dans son pays. Lorsqu'il arriva dans son pays(à remplacer par le pronom personnel complément, à placer correctement), on lui demanda où avait-il(incorrect : pas d'inversion verbe-pronom sujet, car c'est une interrogation indirecte et non directe) laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué, les parents des perdus(autre mot : 'disparus') lui dirent(autre verbe : 'prier' ; vous changerez le pronom complément qui précède ce verbe)) de les conduire là où la cène(orthographe) s'était déroulée afin de s'assurer('s'assurer' de quoi ? Soit vous mettez un complément à 's'assurer', soit vous supprimez ce qui est souligné) . Et il les y amena aussitôt(enlever). Après être arrivés et avoir vu ce qui était arrivé(autre verbe pour éviter une répétition) à leurs enfants, ils le jetterent(orthographe) en prison pour avoir amener(il s'agit de l'infinitif passé de 'amener' avec l'auxiliaire 'avoir' ; donc : participe passé) leurs enfants(autre mot, car trop de répétitions) dans cet endroit. Cinqu'(orthographe) ans après(enlever ; 'plus tard'), il sortit de la(enlever) prison grâce aux efforts fournis par ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendait(conditionnel) quelque part.
Bonne correction
Réponse : Texte, un voyage terrible de datchay91, postée le 11-08-2018 à 04:14:59 (S | E)
Bonsoir.
Un terrible voyage
Nindouwé et ses deux amis arrivèrent dans un pays qui, durant leur voyage, leur parit étrange. Ce qui le rendait exceptionnel à leurs yeux, c'était les montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais vu, car il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement contemplées de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de les escalader. En montant, ils réalisèrent que certaines personnes s'arrêtaient pour les regarder, mais ils ne savaient pas pourquoi. Or, en allant jusqu'aux sommets, ils prenaient le risque d'être tués par les animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants de ce pays n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque exposerait sa vie au danger. C'est la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils seraient au sommet. Quant à nos amis, ils pensaient que, si les gens les regardaient, c'était parce qu'ils ne les connaissaient pas et que, s'il y avait un risque, on le leur dirait. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se lancèrent à leur poursuite. Le plus petit d'entre les amis eut tellement peur qu'il chuta d'en haut et mourit, le second fut dévoré et le troisième se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et disparu, Nindouwé, le survivant, descendit rapidement de la montagne et partit dans son pays. Lorsqu'il y arriva, on lui demanda où il avait laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué, les parents des disparus le prièrent à les conduire là où la cêne s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs gosses, ils le jetèrent en prison pour avoir amené leurs enfants dans cet endroit. Cinq'ans plus tard, il sortit de prison grâce aux efforts fournis par ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendrait quelque part.
Merci d'avance. A bientôt !
Une fois que les enfant auront mangé, ils iront à l'école( Cette locution conjonctive, une fois que, exprime l'antériorité. Lorsqu'il est précédé d'elle, le futur anterieur ou le conditionnel qui peut aussi exprimer un futur dans le passé, son emploi est obligatoire d'après une régle grammaticale que j'ai lue), ce qui n'est pas le cas dans " ...ce qui leur arriverait une fois qu'ils seraient( pourquoi pas au conditionnel passé) au sommet. Merci de me l'expliquer. A bientôt
Réponse : Texte, un voyage terrible de alienor64, postée le 11-08-2018 à 12:23:23 (S | E)
Bonjour datchay91
- Voix passive : Lien internet
Voix active et passive : Lien internet
Un terrible voyage
Nindouwé et ses deux amis(pourquoi 'deux' aujourd'hui ? Où est passé le troisième ?) arrivèrent dans un pays qui, durant leur voyage, leur parit(erreur : passé simple de 'paraître') étrange. Ce qui le rendait exceptionnel à leurs yeux, c'était(accord) les montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais vu,(pas de virgule, mais deux points : ) car(enlever) il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement contemplées de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de les escalader. Tout(s'il vous plaît, laissez 'Tout' (adverbe) suivi du gérondif pour évoquer une progression dans le déroulement de l'action) En montant, ils réalisèrent que certaines(mieux : 'quelques') personnes s'arrêtaient pour les regarder, mais ils ne savaient pas pourquoi. Or, (ici, conjuguez 'ignorer', sujet 'ils', suivi d'une conjonction de subordination devant le gérondif qui suit pour rendre compréhensible leur étonnement) en allant jusqu'aux sommets, ils prenaient le risque d'être tués par les animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants de ce pays n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque exposerait sa vie au danger. C'est(autre temps) la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils seraient au sommet. Quant à nos amis, ils pensaient que, si les gens les regardaient, c'était parce qu'ils ne les connaissaient pas et que, s'il y avait(plus-que-parfait : déjà signalé) un risque, on le leur dirait(conditionnel passé : déjà signalé). Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se lancèrent à leur poursuite. Le plus petit d'entre les amis (mal formulé ; mettez 'des' suivi du nom précédé du chiffre qu'il détermine) eut tellement peur qu'il chuta d'en haut( pléonasme ! On ne peut chuter que d'une hauteur, à commencer par sa propre hauteur ! Nommez l'endroit d'où il a chuté) et mourit(erreur : passé simple de 'mourir'), le second fut dévoré et le troisième se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et disparu(conjuguez 'disparaître' au passé antérieur), Nindouwé, le survivant, descendit rapidement de la montagne et partit(conjuguez 'retourner') dans son pays. Lorsqu'il y arriva, on lui demanda où il avait laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué, les parents des disparus le prièrent à(autre préposition) les conduire là où la cène(orthographe : déjà signalé. Un dictionnaire vous indiquera la signification du mot que vous avez écrit ; vous comprendrez alors qu'il n'a pas de sens dans votre récit) s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs gosses(trop familier : autre mot)(ici, à compléter par : préposition indiquant l'agent + 'faute' précédé d'un déterminant possessif), ils le jetèrent en prison pour avoir amené leurs enfants dans cet endroit(à enlever). Cinq'(pourquoi cette apostrophe ?) ans plus tard, il sortit de prison (pour éviter la répétition de 'prison', conjuguer 'libérer' au passé antérieur voix passive : voir liens)grâce aux efforts fournis par(trop lourd ! Mettez une simple préposition) ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendrait quelque part.
Une fois que les enfant auront mangé, ils iront à l'école( Cette locution conjonctive, une fois que, exprime l'antériorité par rapport à la proposition principale. Lorsqu'il est précédé d'elle('elle précède le futur... ),(pas de virgule) le futur anterieur(accent) ou le conditionnel qui peut aussi exprimer un futur dans le passé, son emploi est obligatoire d'après une régle(erreur d'accent) grammaticale que j'ai lue), ce qui n'est pas le cas dans " ...ce qui leur arriverait(il ne s'agit pas ici d'un futur dans le passé mais bien d'un conditionnel exprimant une éventualité) une fois qu'ils seraient( pourquoi pas au conditionnel passéOui ! Dans ce cas, conjuguez 'atteindre') ) au sommet.
Bonne journée
Réponse : Texte, un voyage terrible de datchay91, postée le 12-08-2018 à 02:14:12 (S | E)
Bonsoir.
Un terrible voyage
Nindouwé et ses deux amis arrivèrent dans un pays qui, durant leur voyage, leur parut étrange. Ce qui le rendait exceptionnel à leurs yeux, c'étaient(ici, quel est le sujet ? ) les montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais vu : il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement contemplées de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de les escalader. Tout en montant, ils réalisèrent que quelques personnes s'arrêtaient pour les regarder, mais ils ne savaient pas pourquoi. Or, ils ignoraient que, en allant jusqu'aux sommets, ils prenaient le risque d'être tués par les animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants de ce pays n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque exposerait sa vie au danger. C'était la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils auraient atteint au sommet. Quant à nos amis, ils pensaient que, si les gens les regardaient, c'était parce qu'ils ne les connaissaient pas et que, s'il y avait eu un risque(c'est un discour direct que j'ai rapporté, je ne comprends pas pourquoi ça doit être au plus-que parfait) on le leur aurait dit. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se lancèrent à leur poursuite. Le plus petit d'entre les trois amis eut tellement peur qu'il chuta et mourut, le second fut dévoré et le troisième se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et qu'ils eurent disparu, Nindouwé, le survivant, descendit rapidement de la montagne et retourna dans son pays. Lorsqu'il y arriva, on lui demanda où il avait laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué, les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs enfants, ils le jetèrent en prison pour avoir amené leurs garçons. Cinq ans plus tard, il fut délivré grâce aux efforts de ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendrait quelque part. Merci bien.
C'est les montagnes et c'était les montagnes. Ce sont les montagnes et c'étaient les montagnes. J'aimerais que vous m'expliquiez quand l'accord de 'c'est' est obligatoire.
Merci d'avance. A bientôt !
Réponse : Texte, un voyage terrible de alienor64, postée le 12-08-2018 à 12:10:47 (S | E)
Bonjour datchay91
La concordance des temps : Lien internet
- La condition avec 'si' : Lien internet
Un terrible voyage
Nindouwé et ses deux amis arrivèrent dans un pays qui, durant leur voyage, leur parut étrange. Ce qui le rendait exceptionnel à leurs yeux, c'étaient(ici, quel est le sujet ? ('c'est' est un présentatif ; le sujet est le pronom neutre 'c'/ce et le nom qui suit le verbe est donc attribut du sujet. Mais dans les tournures comprenant les présentatifs c'est, ce sont (avec les temps conjugués de 'être'), le verbe 'être' suivi d'un nom pluriel s'accorde généralement avec celui-ci. Toutefois, le singulier qui est l'usage ordinaire de la langue parlée non soignée, n'est pas tellement rare dans l'écrit (cf : M.Grevisse) ; il se met également au pluriel avec les pronoms possessifs pluriels : les miens, les tiens... et avec eux, elles) les montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais vu : il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement contemplées de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de les escalader. Tout en montant, ils réalisèrent que quelques personnes s'arrêtaient pour les regarder, mais ils ne savaient pas pourquoi. Or, ils ignoraient que,(enlevez la virgule et élidez 'que') en allant jusqu'aux sommets, ils prenaient le risque d'être tués par les animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants de ce pays n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque exposerait sa vie au danger. C'était la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils auraient atteint au(déterminant défini : 'atteindre' est ici transitif direct, donc non suivi d'une préposition (le déterminant 'au' étant formé de la préposition 'à' + 'le')) sommet. Quant à nos amis, ils pensaient que, si les gens les regardaient, c'était parce qu'ils ne les connaissaient pas et que, s'il y avait eu un risque(c'est un discour(orthographe) direct(un discours direct rapporté ??? C'est une subordonnée interrogative indirecte. L'emploi du plus-que-parfait est justifié par l'emploi de 'si' dans la phrase hypothétique : la condition aurait pu se réaliser (l'avertissement) mais cela n'a pas été le cas, le fait n'a donc pas eu lieu : 's'il y avait eu un risque' : subordonnée au plus-que-parfait de l'indicatif, 'on le leur aurait dit' : principale au conditionnel passé) : les liens sur la concordance des temps et l'emploi de 'si' vous aideront à comprendre) que j'ai rapporté, je ne comprends pas pourquoi ça doit être au plus-que parfait) on le leur aurait dit. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se lancèrent à leur poursuite. Le plus petit d'entre les(trop lourd ! écrivez donc ce que je vous ai indiqué : 'des') trois amis eut tellement peur qu'il chuta (s'il vous plaît, suivez les indications et écrivez où il a chuté : sur les rochers, dans une crevasse, un ravin... ) et mourut, le second fut dévoré et le troisième se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et qu'ils(enlever : déjà signalé dans une précédente correction) eurent disparu, Nindouwé, le survivant, descendit rapidement de la montagne et retourna dans son pays. Lorsqu'il y arriva, on lui demanda où il avait laissé ses amis. Après leur avoir tout expliqué(incorrect, car le sujet (non exprimé) de cet infinitif doit être le même que celui de la proposition principale. Employez : 'Après qu'il' ) , les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs enfants(répétition du mot + à compléter : lisez ou relisez l'indication dans la correction précédente et corrigez), ils le jetèrent en prison pour avoir amené leurs garçons(enlever : déjà signalé). Cinq ans plus tard, il fut délivré(autre verbe : lisez ou relisez l'indication dans la correction précédente) grâce aux efforts de ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendrait quelque part.
C'est les montagnes et c'était les montagnes. Ce sont les montagnes et c'étaient les montagnes. J'aimerais que vous m'expliquiez quand l'accord de 'c'est' est obligatoire. L'explication se trouve dans le texte !
Bon dimanche
Réponse : Texte, un voyage terrible de datchay91, postée le 13-08-2018 à 01:26:25 (S | E)
Bonsoir.
Un terrible voyage
Nindouwé et ses deux amis arrivèrent dans un pays qui, durant leur voyage, leur parut étrange. Ce qui le rendait exceptionnel à leurs yeux, c'étaient les montagnes parce qu'ils n'en avaient jamais vu : il n'y en avait pas dans leur pays. Les ayant longuement contemplées de loin, ils décidèrent de s'approcher de ces merveilles. Une fois arrivés près d'elles, ils se proposèrent de les escalader. Tout en montant, ils réalisèrent que quelques personnes s'arrêtaient pour les regarder, mais ils ne savaient pas pourquoi. Or, ils ignoraient qu'en allant jusqu'aux sommets, ils prenaient le risque d'être tués par les animaux féroces qui y vivaient. Du fait de la présence massive de ces bêtes, aucun des habitants de ce pays n'avait osé explorer ces montagnes, celui qui prendrait un tel risque exposerait sa vie au danger. C'était la raison pour laquelle les gens s'arrêtaient pour les regarder, pour savoir ce qui leur arriverait une fois qu'ils auraient atteint le sommet. Quant à nos amis, ils pensaient que, si les gens les regardaient, c'était parce qu'ils ne les connaissaient pas et que, s'il y avait eu un risque, on le leur aurait dit. Quand ils atteignirent le sommet de la première montagne, des lions se lancèrent à leur poursuite. Le plus petit des amis eut tellement peur qu'il chuta sur les rochers et mourut, le second fut dévoré et le troisième se cacha. Quand les animaux féroces eurent fini leur repas et eurent disparu, Nindouwé, le survivant, descendit rapidement de la montagne et retourna dans son pays. Lorsqu'il y arriva, on lui demanda où il avait laissé ses amis. Après qu'il leur avait tout expliqué, les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs fils, ils le jetèrent en prison. Cinq ans plus tard, il fut libéré grâce aux efforts de ses parents.
Il prit, dès lors, la décision de ne plus se faire accompagner quand il se rendrait quelque part. Merci bien.
Réponse : Texte, un voyage terrible de alienor64, postée le 13-08-2018 à 10:16:25 (S | E)
Bonjour datchay91
Encore un petit effort !
Après qu'il leur avait tout expliqué(autre temps : voir lien sur la concordance des temps dans la correction précédente), les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs fils(vous n'avez pas tenu compte de mon indication en employant le mot 'faute' pour justifier le fait d'être jeté en prison. ), ils le jetèrent en prison;
Bonne journée
Réponse : Texte, un voyage terrible de datchay91, postée le 14-08-2018 à 01:33:45 (S | E)
Bonsoir.
Après qu'il leur a tout expliqué, les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs fils, ils le jetèrent en prison du fait de cela.
Merci bien. A bientôt !
Réponse : Texte, un voyage terrible de alienor64, postée le 14-08-2018 à 09:37:09 (S | E)
Bonjour datcahy91
Un dernier petit effort !
Après qu'il leur a tout expliqué(autre temps : relisez le lien sur la concordance des temps), les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs fils, ils le jetèrent en prison du fait de cela(cela n'a pas de sens. Je vous avais indiqué dans une des corrections le mot 'faute' à faire précéder d'un déterminant possessif et d'une préposition indiquant l'agent, la cause ; vous n'en avez pas tenu compte. Placez 'par sa faute' après 'était advenu' et vous aurez enfin une phrase correcte) .
Bonne journée
Réponse : Texte, un voyage terrible de datchay91, postée le 15-08-2018 à 04:02:43 (S | E)
Bonsoir.
Après qu'il leur eut tout expliqué, les parents des disparus le prièrent de les conduire là où l'histoire s'était déroulée afin de s'assurer que leurs enfants étaient bien morts. Et il les y amena. Après être arrivés et avoir vu ce qui était advenu à leurs fils par sa faute, ils le jetèrent.
Merci infiniment. Je vous souhaîte une excellente soirée. A bientôt !
Réponse : Texte, un voyage terrible de alienor64, postée le 15-08-2018 à 09:14:22 (S | E)
Bonjour datchay91
C'est très bien ! Votre texte est désormais correct. Bravo !
Bonne continuation
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