Solidarité/ traduction
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Message de floriandx posté le 15-08-2018 à 14:28:39 (S | E | F)
Bonjour,
pouvez-vous me dire si ma traduction est bonne et si je n'ai pas fait de fautes s'il-vous plaît ?
Merci d'avance :-)
"Mais cette importance que j’attache à la solidarité, je ne veux pas seulement la vivre au sein des associations auxquels je souhaite apporter ma contribution au sein de votre école, je souhaite également la vivre au travers de mon projet professionnel car je souhaite fonder une filière de commerce équitable car le commerce équitable est aujourd'hui un secteur en plein essor et qui respecte les producteurs.
Pour cela j’aimerais débuter comme chef de produit en commerce équitable.
J’aimerais ainsi contribuer au développement du secteur du commerce équitable en France.
J’aimerais casser quelques possibles idées reçus que vous pourriez-vous faire de moi parce que ce sont des remarques que l’on m’a déjà faites, car peut-être que vous vous dites qu’avec mon goût pour la littérature j’aurai dû faire Khâgne et l’ENS, et peut-être que quand vous pensez à quelqu’un voulant travailler dans le commerce équitable vous vous imaginez un babacool avec les cheveux longs, alors que je sais que je renvoie une image assez sérieuse, une allure assez stricte. Mais justement, au contraire, je ne me suis pas trompé de voie en venant ici, parce que mon projet c’est avant tout le commerce équitable, et on peut très bien aimer écrire et lire et ne pas être un babacool et faire du commerce équitable. D’une part car, écrire, lire c’est être curieux, curieux des autres, c’est une forme de dialogue avec autrui, une façon de comprendre autrui. Or c’est important de comprendre autrui, de comprendre ses attentes, quand on veut faire du commerce équitable.
D’autre part, on peut très bien avoir un certain goût pour la littérature et être un grand manager, comme le montre par exemple Michel Pébereau, ancien dirigeant de BNP Paribas qui est également un amateur d'ouvrages de science-fiction qui partage ponctuellement sa passion dans les colonnes du Journal du dimanche où il tient une chronique. La littérature permet d’élargir notre vision du monde."
"But I don’t want to live my importance for solidarity only in the associations that I wish to help in your school, I wish to live my importance for solidarity in my professional project too because I wish to create a fair trade company because fair trade is a booming sector nowadays and this is a sector which respect the producers.
So I would like to begin in this sector of activity like product manager in fair trade.
In this way, I would like to contribute to the development of the fair trade sector in France.
I would like to break some possible common preconceptions that you could have about me because there are some remarks that I hear sometimes. Because maybe you think that with my interest for literature I would have to go to « Khâgne » and then to the « ENS », and maybe that when you think about somebody who want to work in fair trade sector you imagine a hippie with long hair, whereas I know that I look serious and quite strict. But,on the contrary, I didn’t make a mistake by coming here, because my professional project is fair trade
before anything else, and we can love writing and reading and not to be a hippie and work in fair trade sector. On the one hand because, writing, reading means to be curious, curious about the other. It’s a form of dialog with the other, a way to understand the other. But, it’s important to understand the other, to understand their expectations, when we want to work in the fair trade sector.
On the other hand, we can love literature and to be a great manager, as we can see it with the example of Michel Pébereau, the former chairman of BNP Paribas who is a science-fictions-lover who share ponctually his passion in the columns of the « Journal du dimanche » where he has a chronic. The literature permits to open our worldview."
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Modifié par lucile83 le 15-08-2018 14:59
Message de floriandx posté le 15-08-2018 à 14:28:39 (S | E | F)
Bonjour,
pouvez-vous me dire si ma traduction est bonne et si je n'ai pas fait de fautes s'il-vous plaît ?
Merci d'avance :-)
"Mais cette importance que j’attache à la solidarité, je ne veux pas seulement la vivre au sein des associations auxquels je souhaite apporter ma contribution au sein de votre école, je souhaite également la vivre au travers de mon projet professionnel car je souhaite fonder une filière de commerce équitable car le commerce équitable est aujourd'hui un secteur en plein essor et qui respecte les producteurs.
Pour cela j’aimerais débuter comme chef de produit en commerce équitable.
J’aimerais ainsi contribuer au développement du secteur du commerce équitable en France.
J’aimerais casser quelques possibles idées reçus que vous pourriez-vous faire de moi parce que ce sont des remarques que l’on m’a déjà faites, car peut-être que vous vous dites qu’avec mon goût pour la littérature j’aurai dû faire Khâgne et l’ENS, et peut-être que quand vous pensez à quelqu’un voulant travailler dans le commerce équitable vous vous imaginez un babacool avec les cheveux longs, alors que je sais que je renvoie une image assez sérieuse, une allure assez stricte. Mais justement, au contraire, je ne me suis pas trompé de voie en venant ici, parce que mon projet c’est avant tout le commerce équitable, et on peut très bien aimer écrire et lire et ne pas être un babacool et faire du commerce équitable. D’une part car, écrire, lire c’est être curieux, curieux des autres, c’est une forme de dialogue avec autrui, une façon de comprendre autrui. Or c’est important de comprendre autrui, de comprendre ses attentes, quand on veut faire du commerce équitable.
D’autre part, on peut très bien avoir un certain goût pour la littérature et être un grand manager, comme le montre par exemple Michel Pébereau, ancien dirigeant de BNP Paribas qui est également un amateur d'ouvrages de science-fiction qui partage ponctuellement sa passion dans les colonnes du Journal du dimanche où il tient une chronique. La littérature permet d’élargir notre vision du monde."
"But I don’t want to live my importance for solidarity only in the associations that I wish to help in your school, I wish to live my importance for solidarity in my professional project too because I wish to create a fair trade company because fair trade is a booming sector nowadays and this is a sector which respect the producers.
So I would like to begin in this sector of activity like product manager in fair trade.
In this way, I would like to contribute to the development of the fair trade sector in France.
I would like to break some possible common preconceptions that you could have about me because there are some remarks that I hear sometimes. Because maybe you think that with my interest for literature I would have to go to « Khâgne » and then to the « ENS », and maybe that when you think about somebody who want to work in fair trade sector you imagine a hippie with long hair, whereas I know that I look serious and quite strict. But,on the contrary, I didn’t make a mistake by coming here, because my professional project is fair trade
before anything else, and we can love writing and reading and not to be a hippie and work in fair trade sector. On the one hand because, writing, reading means to be curious, curious about the other. It’s a form of dialog with the other, a way to understand the other. But, it’s important to understand the other, to understand their expectations, when we want to work in the fair trade sector.
On the other hand, we can love literature and to be a great manager, as we can see it with the example of Michel Pébereau, the former chairman of BNP Paribas who is a science-fictions-lover who share ponctually his passion in the columns of the « Journal du dimanche » where he has a chronic. The literature permits to open our worldview."
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Modifié par lucile83 le 15-08-2018 14:59
Réponse : Solidarité/ traduction de here4u, postée le 22-08-2018 à 09:41:16 (S | E)
Hello !
"But I don’t want to live my importance for solidarity(the importance I give to solidarity...) only in the associations that I wish to help in your school, I wish to live my importance for solidarity but also in my professional project
So I would like to begin in this sector of activity like product manager in fair trade.
In this way, I would like to contribute to the development of the fair trade sector in France.
I would like to break some possible common preconceptions that yousome could have about me because there are some remarks that I hear sometimes.(un peu maladroit...) Because maybe you thinkYou may think that with my interest for literature I would have to(autre modal!) go to « Khâgne » and then to the « ENS », and maybe that when you think about somebody who want to work in fair trade sector you imagine a hippie with long hair,(phrase outrageusement longue qu'il faut ponctuer correctement!) whereas I know that I look serious and quite strict (You look ... but you aren't really!). But,on the contrary, I didn’t make a mistake by coming here, because my professional project is fair trade before anything else,(Ponctuez ! des phrases aussi longues (et juxtaposées ...) montrent "un courant de pensée ..." par association d'idées, mais pas de réelle construction de texte !) and we can love writing and reading and not to be a hippie and work in fair trade sector.(Pouvez-vous vraiment penser à la place de votre lecteur ... et l'accuser de choses qu'il ne fait sans doute pas ...??) On the one hand because, writing, reading means to be curious, curious about the other. It’s a form of dialog with the other, a way to understand the other. But, it’s important to understand the other, to understand their expectations, when we want to work in the fair trade sector.(Tout ceci est bien lourd ... et très "parlé"...)
On the other hand, we can love literature and to be a great manager, as we can see it with the example of Michel Pébereau, the former chairman of BNP Paribas who is a science-fictions-lover who share ponctually his passion in the columns of the « Journal du dimanche » where he has a chronic. The literature permits to open our worldview."
Quelle est la nature du texte que vous écrivez ? Il est important de le savoir pour adapter les propos ... Tel quel, je le trouve "agressif" envers le lecteur ... (qui pourrait ne pas avoir envie de continuer à lire !)
Réponse : Solidarité/ traduction de floriandx, postée le 22-08-2018 à 16:39:23 (S | E)
Bonjour here4u,
tout d'abord merci beaucoup pour votre réponse. Oui c'est vrai que je n'ai pas précisé pourquoi je faisais ce texte. En fait cela n'a rien d'obligatoire, mais je suis en classe préparatoire pour les grandes écoles de commerce pour réaliser mon projet qui serait de fonder une filière de commerce équitable afin de contribuer à l'essor de ce secteur. Et donc on doit passer des oraux dans les écoles qui nous veulent, seulement il arrive régulièrement que lors des épreuves de langues, l'oral de langue finisse par nous amener à parler de notre projet professionnel qui nous a amené dans cette école mais en anglais bien sûr. Alors je préfère ne rien négliger et également préparer mon entretien en anglais. Donc c'est un texte qui a vocation a être dit à l'oral. Et aussi je fais cette traduction car cela me donne une occasion de plus de travailler mon anglais et dans un cadre un peu plus concret peut-être que les devoirs traditionnels :-)
Ahahah vous trouvez que mon texte fait un peu agressif ? Mais ce n'est pas moi qui est eu l'idée à la base de prendre les devants en cherchant directement à casser les possibles idées reçues que l'on peut se faire sur moi et sur quelqu'un voulant travailler dans le commerce équitable. C'est, je ne sais pas si vous le connaissez, xxx, le vice-président de l'autorité de la concurrence en France que j'ai eu la chance de rencontrer et qui a pu me donner son avis sur mon entretien :-)
Pour ce qui est de la correction:
- "You may think that with my interest for literature I would have to(autre modal!) go to « Khâgne » and then to the « ENS », and maybe that when you think about somebody who want to work in fair trade sector you imagine a hippie with long hair,(phrase outrageusement longue qu'il faut ponctuer correctement!) whereas I know that I look serious and quite strict (You look ... but you aren't really!)."
Dans ce passage, je ne comprend pas pourquoi vous me dites "autre modal" car ici je veux traduire "j’aurai dû " et j'ai traduit par "I would have to", donc c'est correct car "j'aurai" c'est du conditionnel et le conditionnel en anglais se traduit par "would" et pour la traduction de " dû " du verbe " devoir " j'ai utilisé la manière habituelle pour traduire "devoir" c'est-à-dire " have to " ?
- " whereas I know that I look serious and quite strict (You look ... but you aren't really!). "
Dans ce passage je ne comprends pas votre remarque, car comme vous avez surligné le " whereas " en bleu je suppose que c'est un problème avec ça, mais pourquoi c'est faux car ici je veux traduire "alors que" mais en anglais cela donne bien "whereas" ?
- " and we can love writing and reading and not to be a hippie and work in fair trade sector. "
Et là pourquoi c'est pas bon le "not to be" ?
- " On the one hand because, writing, reading means to be curious, curious about the other."
pourquoi là c'est pas bon le " to be " ?
- " It’s a form of dialog with the other "
Pourquoi ici pour traduire "dialogue", "dialog" n'est pas correct car :
Lien internet
- " On the other hand, we can love literature and to be a great manager "
Pourquoi ici aussi le " to be " est faux car ici je veux traduire "être", donc l'infinitif du verbe, et en anglais la forme de l'infinitif d'un verbe c'est le verbe précédé par "to", donc "to be" pour "être" non ?
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Modifié par lucile83 le 25-08-2018 18:59
Réponse : Solidarité/ traduction de floriandx, postée le 22-08-2018 à 16:48:18 (S | E)
Ah et j'ai oublié :
" and maybe that when you think about somebody "
pourquoi ce passage n'est pas correct ?
Réponse : Solidarité/ traduction de floriandx, postée le 25-08-2018 à 18:42:00 (S | E)
Réponse : Solidarité/ traduction de here4u, postée le 28-08-2018 à 10:06:39 (S | E)
Hello !
Désolée de ne pas pouvoir répondre pour le moment à votre relance en mp ... Je le ferai dès que possible ... mais malgré ce que vous avez l’air de penser, c’est très chronophage ...
Lorsque nous indiquons une faute, la recherche du « pourquoi » fait souvent ( j’ai envie de dire TOUJOURS ) partie du processus d.auto-correction nécessaire à l’assimilation de la forme correcte. La plupart du temps, vous pouvez nous croire « sur parole » et faire votre part du travail, c’est à dire CHERCHER !
Ainsi, la phrase que vous « discutez »:
- " On the other hand, we can love literature and to be a great manager " ... ‘we can be’ est sur le même plan que « we can love », donc, il ne DOIT pas être précédé de la marque de l’infinitif TO, qui pour votre malchance indique un but = pour être un grand directeur ... ( et je continue de penser que l’on ne parle pas de soi ainsi, dans une présentation, ni encore moins dans une démonstration ...
A plus tard ... Patience ...
Réponse : Solidarité/ traduction de lucile83, postée le 28-08-2018 à 10:18:06 (S | E)
Hello floriandx,
Je rappelle ici qu'il n'est pas admis de prendre les correcteurs des forums pour des professeurs particuliers, ni de leur réclamer une correction plus rapide par message privé.
Merci de votre compréhension.
Réponse : Solidarité/ traduction de floriandx, postée le 28-08-2018 à 15:53:25 (S | E)
Pardon excusez-moi, c'est juste que je pensais que mon message était passé inaperçu, bien sûr si vous êtes occupé ce n'est pas grave si vous ne me répondez pas maintenant, encore toutes mes excuses
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