Correction texte urgent svp
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Message de sabri47 posté le 14-12-2018 à 02:45:27 (S | E | F)
Bonsoir, je vous en prie corriger moi mon texte de point de vue ponctuatio, orthogrape et gramaire et aussi syntaxe svp merci beaucoup.
Oui les deux premiers chapitres, s’opposent aux chapitres trois et quatre, car ils parlent de la dureté ainsi que les couts et les menaces de l’hiver, alors que les chapitres trois et quatre viennent pour solliciter des solutions favorables afin de rendre la saison hivernal, vivante, favorable et sans souffrance.
Ce roman opuscule, ………..ABOLISSONS L’HIVER! A été publié en 1999, par l’anthropologue québécois Bernard Acrand, né le 18 avril 1945 à Deschambault, près de Québec.
L’écrivain met en scène, deux situations différente et opposées, la notion de froid intense et le refroidissement que vit le peuple québécois depuis la nuit des temps, sans tarder a proposer des solutions.
On peut affirmer que les deux premiers chapitres s’opposent aux chapitres trois et quatre.
Tout d’abord, à travers ce livre les inconvénients de l’hiver réels ou imaginaire, ensuite l’organisation et l’adaptation du mode de vie et enfin un ralentissement de la vie et de l’économie causé par l’hiver.
Premièrement, les inconvénients de l’hiver réel ou imaginaire.
Les rigueurs de l’hiver sur la santé mental des gens. se résume sur la profondeur de la neige abondante les vents très forts et glacials répétitifs annuellement. L’agriculture n’a point de place, les pauvres animaux en souffrent autant que les êtres humains et même si certains d’entre eux s’endorment ou fuient la dureté de la saison, la majorité d’entre eux finit par mourir affamés.
« Bref, l’hiver est dur. On dit qu’à la saison froide la vie ralentit, qu’elle retient son souffle. En hiver, rien ne pousse. Les animaux dorment, s’enfuient vers le sud ou souffrent en silence, perchés sur un fil électrique. En hiver, plusieurs espèces sauvages peinent au point d’oublier les règles élémentaires de prudences. D’autres se surmènent. Les cerfs de Virginie, par exemple, épuisent leurs réserves de graisse à marcher dans la neige épaisse. Plusieurs meurent de faim.» Page 23.
L’hiver, impose aux êtres humains de grands sacrifices et de continuelles dépenses financières, physique, et morale. Bien que l’hiver soit dur et méchant, il est surtout très prolongé…
Le changement de mode de vie permet de transformer l’hiver en saison agréable.
« Donc la solution est simple, il faut désormais traiter l’hiver à la manière de l’été, c’est-à-dire rétablir son statut de véritable son statut de véritable saison morte.» Page 65
Le fait d’inverser les saisons, peut permettre un hiver vivant et acceptable. Les vacances scolaires, et certaines activités peuvent être inversés et réorganisés. Le calendrier doit être modifié, les travaux et le commerce doivent apprivoiser une compatibilité avec les variations saisonnières.
L’organisation et l’adaptation du mode de vie.
L’hiver est une saison détestable, menaces permanente.
« L’hiver est la saison de toutes les misères» Page 30
Les gens sont épuisés et constamment menacés par la méchanceté et la dureté de l’hiver. Ils sont et en tout temps sujet de plusieurs maladies et souvent des malaises financiers tandis que les commerçants en tire bien profit. Nul n’est à l’abri des accidents causé par le climat, les gens sont plutôt déprimés et épuisés.
Un changement de moral, permet de lutter contre la mauvaise humeur hivernale.
« On ne peut a la fois vivre en harmonie avec la nature et la contredire. Pourtant, nos efforts vont toujours dans le même sens. » Page 99
Faut d’abord aimer, accepter et respecter l’hiver pour pouvoir vivre en harmonie avec, sinon ca sera de l’hypocrisie totale, puisque les gens continuent a lutter contre cette saison impitoyable .
Message de sabri47 posté le 14-12-2018 à 02:45:27 (S | E | F)
Bonsoir, je vous en prie corriger moi mon texte de point de vue ponctuatio, orthogrape et gramaire et aussi syntaxe svp merci beaucoup.
Oui les deux premiers chapitres, s’opposent aux chapitres trois et quatre, car ils parlent de la dureté ainsi que les couts et les menaces de l’hiver, alors que les chapitres trois et quatre viennent pour solliciter des solutions favorables afin de rendre la saison hivernal, vivante, favorable et sans souffrance.
Ce roman opuscule, ………..ABOLISSONS L’HIVER! A été publié en 1999, par l’anthropologue québécois Bernard Acrand, né le 18 avril 1945 à Deschambault, près de Québec.
L’écrivain met en scène, deux situations différente et opposées, la notion de froid intense et le refroidissement que vit le peuple québécois depuis la nuit des temps, sans tarder a proposer des solutions.
On peut affirmer que les deux premiers chapitres s’opposent aux chapitres trois et quatre.
Tout d’abord, à travers ce livre les inconvénients de l’hiver réels ou imaginaire, ensuite l’organisation et l’adaptation du mode de vie et enfin un ralentissement de la vie et de l’économie causé par l’hiver.
Premièrement, les inconvénients de l’hiver réel ou imaginaire.
Les rigueurs de l’hiver sur la santé mental des gens. se résume sur la profondeur de la neige abondante les vents très forts et glacials répétitifs annuellement. L’agriculture n’a point de place, les pauvres animaux en souffrent autant que les êtres humains et même si certains d’entre eux s’endorment ou fuient la dureté de la saison, la majorité d’entre eux finit par mourir affamés.
« Bref, l’hiver est dur. On dit qu’à la saison froide la vie ralentit, qu’elle retient son souffle. En hiver, rien ne pousse. Les animaux dorment, s’enfuient vers le sud ou souffrent en silence, perchés sur un fil électrique. En hiver, plusieurs espèces sauvages peinent au point d’oublier les règles élémentaires de prudences. D’autres se surmènent. Les cerfs de Virginie, par exemple, épuisent leurs réserves de graisse à marcher dans la neige épaisse. Plusieurs meurent de faim.» Page 23.
L’hiver, impose aux êtres humains de grands sacrifices et de continuelles dépenses financières, physique, et morale. Bien que l’hiver soit dur et méchant, il est surtout très prolongé…
Le changement de mode de vie permet de transformer l’hiver en saison agréable.
« Donc la solution est simple, il faut désormais traiter l’hiver à la manière de l’été, c’est-à-dire rétablir son statut de véritable son statut de véritable saison morte.» Page 65
Le fait d’inverser les saisons, peut permettre un hiver vivant et acceptable. Les vacances scolaires, et certaines activités peuvent être inversés et réorganisés. Le calendrier doit être modifié, les travaux et le commerce doivent apprivoiser une compatibilité avec les variations saisonnières.
L’organisation et l’adaptation du mode de vie.
L’hiver est une saison détestable, menaces permanente.
« L’hiver est la saison de toutes les misères» Page 30
Les gens sont épuisés et constamment menacés par la méchanceté et la dureté de l’hiver. Ils sont et en tout temps sujet de plusieurs maladies et souvent des malaises financiers tandis que les commerçants en tire bien profit. Nul n’est à l’abri des accidents causé par le climat, les gens sont plutôt déprimés et épuisés.
Un changement de moral, permet de lutter contre la mauvaise humeur hivernale.
« On ne peut a la fois vivre en harmonie avec la nature et la contredire. Pourtant, nos efforts vont toujours dans le même sens. » Page 99
Faut d’abord aimer, accepter et respecter l’hiver pour pouvoir vivre en harmonie avec, sinon ca sera de l’hypocrisie totale, puisque les gens continuent a lutter contre cette saison impitoyable .
Réponse : Correction texte urgent svp de jij33, postée le 14-12-2018 à 07:36:11 (S | E)
Bonjour
Pour nous, rien n'est urgent ! Les demandes sont nombreuses et nous y répondons chronologiquement ; il était donc inutile d'envoyer deux fois le même texte : il suffisait d'un peu de patience.
Nous ne corrigeons pas mais expliquons comment corriger. Certaines fautes d'orthographe et accords manquants seront précédés de
: corrigez-les.Oui les deux premiers chapitres, (jamais de virgule entre le verbe et son sujet)s’opposent aux chapitres trois et quatre, car ils parlent de la dureté ainsi que les (contraction de "de + les") couts (accent) et les (voir avant-dernière remarque) menaces de l’hiver, alors que les chapitres trois et quatre viennent pour solliciter (autre verbe : proposer ou évoquer) des solutions favorables (supprimer) afin de rendre la saison hivernal (accord), vivante, favorable et sans souffrance.
Ce roman opuscule (ce n'est pas un roman mais un essai de cent vingt pages environ : dites essai ou opuscule, mais évitez de faire voisiner les deux), ………..ABOLISSONS L’HIVER! (supprimer tous les points, mettre une majuscule au premier mot du titre, tout le reste en minuscules et une espace avant le point d'exclamation) A (minuscule) été publié en 1999, par l’anthropologue québécois Bernard Acrand (ce n'est la bonne orthographe), né le 18 avril 1945 à Deschambault, près de Québec (d'accord, mais vous faites comme s'il était encore vivant. Quand on cite l'année de naissance d'un auteur, on précise aussi celle de sa mort) .
L’écrivain met en scène, (pas de virgule) deux situations
différente et opposées, la notion de froid intense et le refroidissement que vit le peuple québécois depuis la nuit des temps, sans tarder a proposer des solutions.On peut affirmer que les deux premiers chapitres s’opposent aux chapitres trois et quatre.
Tout d’abord,
Premièrement, les inconvénients de l’hiver réel ou imaginaire (à placer après "inconvénients" et à accorder avec ce mot)
Les rigueurs de l’hiver sur la santé
mental des gens. (pas de virgule) se résume sur (remplacer par "se manifester par") la profondeur de la neige abondante (conjonction de coordination) les vents très forts et glacials répétitifs annuellement (inutile). L’agriculture n’a point de place, les pauvres animaux en souffrent autant que les êtres humains et même si certains d’entre eux s’endorment ou fuient la dureté de la saison, la majorité d’entre eux finit par mourir affamés.« Bref, l’hiver est dur. On dit qu’à la saison froide la vie ralentit, qu’elle retient son souffle. En hiver, rien ne pousse. Les animaux dorment, s’enfuient vers le sud ou souffrent en silence, perchés sur un fil électrique. En hiver, plusieurs espèces sauvages peinent au point d’oublier les règles élémentaires de prudences (singulier). D’autres se surmènent. Les cerfs de Virginie, par exemple, épuisent leurs réserves de graisse à marcher dans la neige épaisse. Plusieurs meurent de faim.» Page 23.
L’hiver, (jamais de virgule entre le sujet et le verbe) impose aux êtres humains de grands sacrifices et de continuelles dépenses financières,
physique, et morale. Bien que l’hiver soit dur et méchant, il est surtout très prolongé…Le changement de mode de vie permet de transformer l’hiver en saison agréable.
« Donc la solution est simple, il faut désormais traiter l’hiver à la manière de l’été, c’est-à-dire rétablir
Le fait d’inverser les saisons, (pas de virgule) peut permettre un hiver vivant et acceptable. Les vacances scolaires, pas de virgule) et certaines activités peuvent être inversés et réorganisés (accord avec vacances et activités). Le calendrier doit être modifié, les travaux et le commerce doivent apprivoiser une compatibilité (ces mots n'ont pas de sens) avec les variations saisonnières.
L’organisation et l’adaptation du mode de vie.
L’hiver est une saison détestable, (pas de virgule, ajouter un participe présent et un déterminant) menaces
permanente.« L’hiver est la saison de toutes les misères» Page 30
Les gens sont épuisés et constamment menacés par la méchanceté et la dureté de l’hiver. Ils sont et en tout temps (remplacer par l'adverbe formé sur "constant")
sujet de (autre préposition) plusieurs maladies et souvent (préposition) des malaises (plutôt "problèmes" ou "difficultés") financiers tandis que les commerçants en tire bien profit. Nul n’est à l’abri des accidents causé par le climat, les gens sont plutôt déprimés et épuisés.Un changement de moral, (pas de virgule !) permet de lutter contre la mauvaise humeur hivernale.
« On ne peut
a la fois vivre en harmonie avec la nature et la contredire. Pourtant, nos efforts vont toujours dans le même sens. » Page 99(ajouter le pronom sujet) Faut d’abord aimer, accepter et respecter l’hiver pour pouvoir vivre en harmonie avec (ajouter pronom un personnel), sinon
a lutter contre cette saison impitoyable.Merci de présenter votre correction jusqu'à ce que votre texte ne contienne plus d'erreurs.
Réponse : Correction texte urgent svp de sabri47, postée le 14-12-2018 à 15:40:12 (S | E)
Bonjour, je vous en remercie chalheureusement, mais je n'ai pas compris si je dois faire des modifications moi meme. merci beaucoup bonne journée
Réponse : Correction texte urgent svp de sabri47, postée le 14-12-2018 à 15:42:13 (S | E)
Rebonjour, j'avais envoyé le texte deux fois car j'avais oublié d'utiliser des formules de politesse dans le 1er texte, et je n'ai pas su comment le modifier. merci bonne journée
Réponse : Correction texte urgent svp de jij33, postée le 14-12-2018 à 15:44:42 (S | E)
Bonjour
En effet, vous devez corriger votre texte sur le forum.
Réponse : Correction texte urgent svp de sabri47, postée le 14-12-2018 à 17:30:30 (S | E)
Permettez moi juste de vous dire que vous etes plus que merveilleux, vraiment je suis tres contente et je ne trouve pas les mots pour vous dire un grand merci, merci infiniment
Réponse : Correction texte urgent svp de jij33, postée le 15-12-2018 à 08:19:51 (S | E)
Bonjour sabri47
N'oubliez pas de renvoyer votre texte corrigé pour vérification.
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