Rédaction 1ere psin sur mon mensonge
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Message de pounchie posté le 16-12-2015 à 11:53:42 (S | E | F)
J'ai une rédaction pour vendredi 18 Décembre je l'ai commencer
Pouvez vous me donner des aides si je la fais au passé corriger mes erreurs?
C'est sur un mensonge que j'ai raconter a mes parents et qu'elle circonstances sa a eu. Pouvez vous me noter si possible?
Rédaction N°4, d'après La Parure
Toute vérité est-elle bonne à dire ?
Sujet
Racontez un épisode de votre enfance ou de votre adolescence, au cours duquel vous vous êtes trouvé dans l'obligation de mentir pour vous tirer d'une situation embarrassante.
Vous pouvez vous inspirer de votre expérience personnelle ou tout inventer !
Consignes
Votre récit sera écrit à la 1er personne (vous dites « je » )
Dans un premier paragraphe, vous raconterez l'épisode de mensonge proprement dit, en en détaillant les circonstances et les raisons.
Dans un second paragraphe, vous préciserez quelles ont été les conséquences (heureuse ou fâcheuses ! ) de ce mensonge, et expliquerez la morale que vous avez tiré de cette mésaventure.
Les choix des temps est laissé libre (présent ou imparfait/passé simple ou passé composé) mais attention aux mélanges !
Barème
Récit riche, cohérent et circonstancié
/ 10
Conséquences et « morale » de l’histoire
/ 5
Maîtrise de la langue
/ 5
Total
histoire s'est passé il y a le lundi 11 Octobre. Je m'en souviens comme si c'était hier.
Aujourd'hui, je pars au collège, on est le lundi 11 Octobre 2015. Nawel ma meilleure amie , m'a invitée depuis longtemps à dormir chez elle. En premier heure, j'ai musique, puis sport pendant deux heures et après je mange. J'arrive à mon cours de math, qui se déroule l'après midi, j'entre dans la classe et je m'assois.
Noa, un ami, lance une gomme juste à côté de moi. Je la ramasse en croyant qu'elle n'est à personne. De suite, il m'appelle et me dit que la gomme est à lui. Je la lui relance et il en fait de même. On se fait des échanges de gomme, je veux arrêter et la lui rendre une bonne fois pour toute. Alors, je me lève et lui relance la gomme. La professeur, qui se trouve à côté reçoit la gomme dans le cou et sursaute.
Directement Mme Renault, la professeur, me demande en haussant le ton si c'est moi qui lui ai lancé la gomme car j'étais encore debout. En pleurs, j'assume et lui dis que c'est bien moi même si je n'en n'ai pas envie.
A la fin de l'heure, tout le monde va voir la professeur et lui demande de faire un rapport de classe. Elle répond qu'elle ne veut pas tant qu'elle n'a pas d'autre nom et que c'est bien facile de mettre la faute sur le dos d'une seule personne. Tout le monde part, sauf moi qui doit rester. Mme Renault me demande pourquoi, si je l'ai fait exprès et qui d'autre a lancé des projectiles. Désespérée, je ne lui dis que la vérité, que je ne voulais pas la lui lancer dessus et que je voulais la renvoyer à Noa. Je lui raconte aussi que je ne sais pas qui avait lancé des projectiles dans la classe alors que je le sais. Bien sur, elle me met une heure de colle au lieu d'un rapport pour violence. Je me suis excusée, mais je n'ai dénoncé personne. Je sors du collège en pleurs et Nawel m'attends. J'appelle mes amies et elles m'accompagnent voir ma mère à l'école Guincourt afin de lui annoncer la mauvaise nouvelle. Au passage, je lui demande si je peux toujours aller dormir chez Nawel.
Ma mère me voit arriver en pleurs et me dit de sécher mes larmes. Je lui explique alors toute l'histoire en détails sauf que j'ai lancé la gomme sur la professeur. Elle me répond qu'il y a des injustices par rapport au fait que j'ai tout pris pour les autres et que je ne serai pas punie car j'ai déjà eu une heure de colle. Heureusement que je n'ai pas dit à ma mère que j'ai lancé ce projectile sur la professeur car elle et mon père m'auraient sûrement doublé mon heure de colle.
Ils auraient pu aussi m'interdire de dormir chez ma meilleure amie, ce qui m'aurait fortement atteinte, ou encore me priver de téléphone pour un mois et m'interdire de fêter mon anniversaire. Mais par dessus tout, j'ai peur de les décevoir et j'ai peur de leurs réactions.
Une semaine plus tard, ma mère et mon père apprennent que j'ai lancé la gomme. Ils me privent de téléphone et ils m'interdisent aussi de sortir pendant une semaine. J'ai appris de toute cette histoire qu'il ne faut jamais mentir, qu'il faut assumer ses erreurs quoi qu'il en coûte car la vérité finit toujours par ressurgir .
Message de pounchie posté le 16-12-2015 à 11:53:42 (S | E | F)
J'ai une rédaction pour vendredi 18 Décembre je l'ai commencer
Pouvez vous me donner des aides si je la fais au passé corriger mes erreurs?
C'est sur un mensonge que j'ai raconter a mes parents et qu'elle circonstances sa a eu. Pouvez vous me noter si possible?
Rédaction N°4, d'après La Parure
Toute vérité est-elle bonne à dire ?
Sujet
Racontez un épisode de votre enfance ou de votre adolescence, au cours duquel vous vous êtes trouvé dans l'obligation de mentir pour vous tirer d'une situation embarrassante.
Vous pouvez vous inspirer de votre expérience personnelle ou tout inventer !
Consignes
Votre récit sera écrit à la 1er personne (vous dites « je » )
Dans un premier paragraphe, vous raconterez l'épisode de mensonge proprement dit, en en détaillant les circonstances et les raisons.
Dans un second paragraphe, vous préciserez quelles ont été les conséquences (heureuse ou fâcheuses ! ) de ce mensonge, et expliquerez la morale que vous avez tiré de cette mésaventure.
Les choix des temps est laissé libre (présent ou imparfait/passé simple ou passé composé) mais attention aux mélanges !
Barème
Récit riche, cohérent et circonstancié
/ 10
Conséquences et « morale » de l’histoire
/ 5
Maîtrise de la langue
/ 5
Total
histoire s'est passé il y a le lundi 11 Octobre. Je m'en souviens comme si c'était hier.
Aujourd'hui, je pars au collège, on est le lundi 11 Octobre 2015. Nawel ma meilleure amie , m'a invitée depuis longtemps à dormir chez elle. En premier heure, j'ai musique, puis sport pendant deux heures et après je mange. J'arrive à mon cours de math, qui se déroule l'après midi, j'entre dans la classe et je m'assois.
Noa, un ami, lance une gomme juste à côté de moi. Je la ramasse en croyant qu'elle n'est à personne. De suite, il m'appelle et me dit que la gomme est à lui. Je la lui relance et il en fait de même. On se fait des échanges de gomme, je veux arrêter et la lui rendre une bonne fois pour toute. Alors, je me lève et lui relance la gomme. La professeur, qui se trouve à côté reçoit la gomme dans le cou et sursaute.
Directement Mme Renault, la professeur, me demande en haussant le ton si c'est moi qui lui ai lancé la gomme car j'étais encore debout. En pleurs, j'assume et lui dis que c'est bien moi même si je n'en n'ai pas envie.
A la fin de l'heure, tout le monde va voir la professeur et lui demande de faire un rapport de classe. Elle répond qu'elle ne veut pas tant qu'elle n'a pas d'autre nom et que c'est bien facile de mettre la faute sur le dos d'une seule personne. Tout le monde part, sauf moi qui doit rester. Mme Renault me demande pourquoi, si je l'ai fait exprès et qui d'autre a lancé des projectiles. Désespérée, je ne lui dis que la vérité, que je ne voulais pas la lui lancer dessus et que je voulais la renvoyer à Noa. Je lui raconte aussi que je ne sais pas qui avait lancé des projectiles dans la classe alors que je le sais. Bien sur, elle me met une heure de colle au lieu d'un rapport pour violence. Je me suis excusée, mais je n'ai dénoncé personne. Je sors du collège en pleurs et Nawel m'attends. J'appelle mes amies et elles m'accompagnent voir ma mère à l'école Guincourt afin de lui annoncer la mauvaise nouvelle. Au passage, je lui demande si je peux toujours aller dormir chez Nawel.
Ma mère me voit arriver en pleurs et me dit de sécher mes larmes. Je lui explique alors toute l'histoire en détails sauf que j'ai lancé la gomme sur la professeur. Elle me répond qu'il y a des injustices par rapport au fait que j'ai tout pris pour les autres et que je ne serai pas punie car j'ai déjà eu une heure de colle. Heureusement que je n'ai pas dit à ma mère que j'ai lancé ce projectile sur la professeur car elle et mon père m'auraient sûrement doublé mon heure de colle.
Ils auraient pu aussi m'interdire de dormir chez ma meilleure amie, ce qui m'aurait fortement atteinte, ou encore me priver de téléphone pour un mois et m'interdire de fêter mon anniversaire. Mais par dessus tout, j'ai peur de les décevoir et j'ai peur de leurs réactions.
Une semaine plus tard, ma mère et mon père apprennent que j'ai lancé la gomme. Ils me privent de téléphone et ils m'interdisent aussi de sortir pendant une semaine. J'ai appris de toute cette histoire qu'il ne faut jamais mentir, qu'il faut assumer ses erreurs quoi qu'il en coûte car la vérité finit toujours par ressurgir .
Réponse: Rédaction 1ere psin sur mon mensonge de jij33, postée le 16-12-2015 à 18:04:00 (S | E)
Bonjour
Sur ce forum, nous nous contentons de donner des conseils sur la correction de l'expression (orthographe, grammaire, conjugaison, vocabulaire), mais en aucun cas nous ne donnons d'indications pour faire un travail personnel. A vous d'analyser l'énoncé pour le comprendre et de construire un récit répondant aux critères d'évaluation donnés par votre professeur !
(Il manque un mot) histoire s'est passé (vous semblez avoir voulu faire un récit au présent et vous employez le passé composé dans votre première phrase !) il y a (relisez et vous verrez que ces mots n'ont aucune utilité ici) le lundi 11 Octobre. Je m'en souviens comme si c'était hier.
Aujourd'hui (ne convient pas : trouver une autre expression de temps) , je pars au collège, on est le lundi 11 Octobre 2015 (déjà dit !). Nawel ma meilleure amie , m'a invitée depuis longtemps à dormir chez elle. En premier heure, j'ai musique, puis sport pendant deux heures et après (autre adverbe de temps, suivi d'une virgule) je mange. J'arrive à mon cours de math, qui se déroule l'après (trait d'union) midi, j'entre dans la classe et je m'assois.
Noa, un ami, lance une gomme juste à côté de moi. Je la ramasse en croyant qu'elle n'est à personne (alors maintenant, les gommes tombent du ciel, comme ça, par hasard ? un peu bizarre, non ? Reformuler). De suite (autre adverbe de temps), il m'appelle et me dit que la gomme est à lui. Je la lui relance et il en fait de même. On se fait des échanges de gomme, je veux arrêter et la lui rendre une bonne fois pour toute (pluriel). Alors, je me lève et lui relance (répétition : pourquoi pas jeter ?) la gomme. La professeur, qui se trouve à côté(virgule) reçoit la gomme dans le cou et sursaute.
Directement Mme Renault, la professeur, me demande en haussant le ton si c'est moi qui lui ai lancé la gomme car j'étais encore debout. En pleurs, j'assume et lui dis que c'est bien moi (virgule) même si je n'en n'ai pas envie.
A la fin de l'heure, tout le monde va voir la professeur et lui demande de faire un rapport de classe. Elle répond qu'elle ne veut pas tant qu'elle n'a pas d'autre nom et que c'est bien facile de mettre la faute sur le dos d'une seule personne. Tout le monde part, sauf moi qui doit rester. Mme Renault me demande pourquoi, si je l'ai fait exprès et qui d'autre a lancé des projectiles. Désespérée, je ne lui dis que la vérité, que je ne voulais pas la lui lancer dessus et que je voulais la renvoyer à Noa. Je lui raconte aussi que je ne sais pas qui avait lancé (passé composé) des projectiles dans la classe alors que je le sais. Bien sur (accentuation), elle me met (autre verbe) une heure de colle au lieu d'un rapport pour violence. Je me suis excusée (au présent, mais vous ne vous excusez pas vous-même, vous priez votre professeur de vous excuser : il faudra modifier la tournure), mais je n'ai dénoncé (je vous rappelle que vous avez choisi de conduire votre récit au présent ) personne. Je sors du collège en pleurs et Nawel m'attends (accord sujet/verbe). J'appelle mes amies et elles m'accompagnent voir ma mère à l'école Guincourt afin de lui annoncer la mauvaise nouvelle. Au passage, je lui demande si je peux toujours aller dormir chez Nawel.
Ma mère me voit arriver en pleurs et me dit de sécher mes larmes. Je lui explique alors toute l'histoire en détails sauf que j'ai lancé la gomme sur la professeur. Elle me répond qu'il y a des injustices par rapport au fait que j'ai tout pris pour les autres (mal dit et de quels autres parlez-vous ? Il n'y a que Noa et vous qui méritiez une punition)que et que je ne serai pas punie car j'ai déjà eu une heure de colle. Heureusement que je n'ai pas dit à ma mère que j'ai lancé ce projectile sur la professeur car elle et mon père m'auraient sûrement doublé mon heure de colle. (Ne faisant pas partie de votre établissement scolaire, ils ne peuvent évidemment pas le faire ! Ils vous auraient probablement sanctionnée, mais d'une autre façon)
Ils auraient pu aussi m'interdire de dormir chez ma meilleure amie, ce qui m'aurait fortement atteinte, ou encore me priver de téléphone pour un mois et m'interdire de fêter mon anniversaire. Mais par dessus tout, j'ai peur de les décevoir et j'ai peur de leurs réactions.
Une semaine plus tard, ma mère et mon père apprennent que j'ai lancé la gomme. Ils me privent de téléphone et ils m'interdisent aussi de sortir pendant une semaine. J'ai appris de toute cette histoire qu'il ne faut jamais mentir, qu'il faut assumer ses erreurs quoi qu'il en coûte car la vérité finit toujours par ressurgir .
Bonne correction.
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