Correction sujet d'écrit
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Message de sakars posté le 29-06-2017 à 19:45:45 (S | E | F)
Bonjour merci de me corriger cette paragraphe
Cependant, dans le contexte de l'intégration actuelle, l'importation des programmes d’études ainsi que l'émergence d'une série d'université internationale au Japon a effectivement mis la pression sur les universités domestiques. On peut citer l'école RMIT, Harford qui porte la marque australienne ou amérique et qui fait l'attrait pour les étudiants français. Les universités publiques sont également confrontées à la concurrence de nombreuses nouvelles universités privées comme l'école FPT qui possède de meilleures conditions d'apprentissage. Alors, s’il n’y a pas d'innovation et de la marque, l’effectif des étudiants sera de plus en plus diminuée par la répartition, ce qui causa de forts impacts à la réputation déjà si difficile à maintenir des établissement publics.
À l'heure actuelle, il est indéniable qu'il y ait un paradoxe que la différence entre l'offre et la demande sur le marché du travail dans le pays. Selon le Bureau des statistiques générales, le taux annuel de chômage dans les zones urbaines de 2000 à 2008 est d'environ 5,5%. En outre, une grande partie des diplômés manque d'emplois et sont obligé de travailler dans les secteurs qui ne sont pas leur spécialité. Pendant ce temps, les entreprises sont de plus en plus « assoiffés » de travailleurs qualifiés. Le rapport du Ministre du Travail montre que 50% des entreprises ont des difficultés dans le recrutement et que 60- 70% des diplômés n’arrivent toujours pas à trouver un travail.
En raison des besoins urgents de la main-d'œuvre du marché, la question de construire un système d'universités d'élite et de développer la marque d'université est devenue une urgence. Elle permet ainsi d'assurer l'approvisionnement des ressources humaines satifaisant aux exigences du développement et de l'intégration dans le monde.
Message de sakars posté le 29-06-2017 à 19:45:45 (S | E | F)
Bonjour merci de me corriger cette paragraphe
Cependant, dans le contexte de l'intégration actuelle, l'importation des programmes d’études ainsi que l'émergence d'une série d'université internationale au Japon a effectivement mis la pression sur les universités domestiques. On peut citer l'école RMIT, Harford qui porte la marque australienne ou amérique et qui fait l'attrait pour les étudiants français. Les universités publiques sont également confrontées à la concurrence de nombreuses nouvelles universités privées comme l'école FPT qui possède de meilleures conditions d'apprentissage. Alors, s’il n’y a pas d'innovation et de la marque, l’effectif des étudiants sera de plus en plus diminuée par la répartition, ce qui causa de forts impacts à la réputation déjà si difficile à maintenir des établissement publics.
À l'heure actuelle, il est indéniable qu'il y ait un paradoxe que la différence entre l'offre et la demande sur le marché du travail dans le pays. Selon le Bureau des statistiques générales, le taux annuel de chômage dans les zones urbaines de 2000 à 2008 est d'environ 5,5%. En outre, une grande partie des diplômés manque d'emplois et sont obligé de travailler dans les secteurs qui ne sont pas leur spécialité. Pendant ce temps, les entreprises sont de plus en plus « assoiffés » de travailleurs qualifiés. Le rapport du Ministre du Travail montre que 50% des entreprises ont des difficultés dans le recrutement et que 60- 70% des diplômés n’arrivent toujours pas à trouver un travail.
En raison des besoins urgents de la main-d'œuvre du marché, la question de construire un système d'universités d'élite et de développer la marque d'université est devenue une urgence. Elle permet ainsi d'assurer l'approvisionnement des ressources humaines satifaisant aux exigences du développement et de l'intégration dans le monde.
Réponse : Correction sujet d'écrit de jrvamb, postée le 29-06-2017 à 19:53:05 (S | E)
salut, j'ai beau chercher, je ne vois aucune faute ! Pour moi ton texte est juste.
Réponse : Correction sujet d'écrit de gerondif, postée le 29-06-2017 à 22:15:39 (S | E)
Bonjour
Euh, en fait si, il y a bien quelques erreurs dans ce paragraphe (masculin).
Cependant, dans le contexte de l'intégration actuelle, l'importation des programmes d’études ainsi que l'émergence d'une série d'université internationale(à mettre au pluriel) au Japon a effectivement mis la pression sur les universités domestiques. On peut citer l'école RMIT, Harford qui porte la marque(je ne comprends pas cette expression, pour moi, une marque est un logo commercial, je dirais qu'une université représente le prestige d'un pays ou qu'elle est le fleuron de l'éducation d'un pays, ou qu'elle est le symbole du système éducatif d'un pays mais "la marque" ...) australienne ou amérique (il faudrait l'adjectif correspondant) et qui fait l'attrait pour(ne se dit pas) les étudiants français. Les universités publiques sont également confrontées à la concurrence de nombreuses nouvelles universités privées comme l'école FPT qui possède de meilleures conditions d'apprentissage. Alors(Pas très courant, au sens de donc, de ce fait, ou par conséquent) s’il n’y a pas d'innovation et de la marque (ne se dit pas), l’effectif des étudiants sera de plus en plus diminuée (à accorder avec effectif, mot masculin)par la répartition, ce qui causa(à mettre au futur, pas au passé simple) de forts impacts (ne se dit guère, on dit causer du tort à) à la réputation déjà si difficile à maintenir des établissement(pluriel) publics.
À l'heure actuelle, il est indéniable qu'il y ait( il faudrait mettre un indicatif, puisque c'est indéniable, il n'y a pas de doute) un paradoxe que (construction incorrecte, "il y a un paradoxe que" est très maladroit)la différence entre l'offre et la demande sur le marché du travail dans le pays. Selon le Bureau des statistiques générales, le taux annuel de chômage dans les zones urbaines de 2000 à 2008 est d'environ 5,5%. En outre, une grande partie des diplômés manque (comme vous continez avec sont obligés, il vaudrait mieux mettre manque au pluriel)d'emplois et sont obligé(pluriel) de travailler dans les(plutôt un article partitif) secteurs qui ne sont pas leur spécialité. Pendant ce temps, les entreprises sont de plus en plus « assoiffés » (à accorder avec entreprises, mot féminin pluriel) de travailleurs qualifiés. Le rapport du Ministre du Travail montre que 50% des entreprises ont des difficultés dans le recrutement et que 60- 70% des diplômés n’arrivent toujours pas à trouver un travail.
En raison des besoins urgents de (de n'est pas faux mais "en" irait mieux)
Réponse : Correction sujet d'écrit de alienor64, postée le 02-07-2017 à 20:37:26 (S | E)
Bonsoir sakars
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